E-reputation corporate, changement de dimension
Néanmoins, pour les organisations qui souhaitent faire du web un levier de croissance, la web présence et la réputation qui y est liée sont à double tranchant. Cette e-reputation corporate est à risque car clients mécontents et concurrents peuvent faire circuler des avis négatifs ou des informations toxiques.
Face à ces risques la stratégie est de travailler, de gérer celle-ci au sein de la réputation globale et d’en faire l’affaire de tous au sein de l’entreprise.
Les questions qui se posent alors sont de savoir comment l’appréhender et comment la garder sous contrôle dans la mesure du possible car la réputation d’une entreprise, d’une marque ou même d’une personne se définit aussi par ce qu’en disent les autres.
Avec l’indexation sur internet, il n’est plus possible de miser sur l’oubli. Il n’est plus aisé de travestir ni la vérité ni les faits à conditions que les internautes prennent la peine de vérifier l’information. Les différents événements de ces derniers mois montrent cependant la puissance des fake news. Il y aura toujours une vigie pour faire ressortir une information préjudiciable, possible départ de polémique.
La réputation est l’atout le plus précieux d’une organisation, ce faisant le cabinet de conseil Brunswick à travers une étude préconise d’adopter une nouvelle posture en la matière. Selon lui, il faudrait considérer la réputation comme quelque chose qui crée de la valeur pour l’entreprise plutôt que quelque chose qu’il faut gérer.
Les résultats de l’étude montrent que 61 % des professionnels de la communication en Europe voient la réputation comme quelque chose à construire pro activement pour la création de valeur. Cette nouvelle façon de penser est selon eux le futur de la réputation corporate.
Découvrez cette nouvelle approche en consultant l’étude The Future of Corporate Reputation, building an opportunity oriented reputation culture – Brunswick Research, Décembre 2016.